Cancer : Prévenir Accompagner Comprendre En sortir

Depuis quelques dizaines d’années, la fréquence des cancers augmente dramatiquement, au point que l’on peut considérer ce fléau comme une maladie émergente : en effet, le nombre de personne atteintes a doublé en deux générations !
Les causes de cette épidémie sont de mieux en mieux connues, et sont d’ordre environnemental : on peut parler schématiquement de causes alimentaires (la « malbouffe »), de l’impact grandissant de la pollution (substances toxiques), et de facteurs neuro-émotionnels.
L’idéal est de réduire au mieux l’impact de ces différents facteurs favorisants, afin de réaliser une prévention primaire de la maladie cancéreuse.
Lorsque le cancer est déclaré, les traitements conventionnels sont indispensables, mais il reste tout aussi fondamental d’agir également sur ce terrain environnemental, afin de prévenir les récidives.

L’industrialisation de la médecine via les nouvelles pratiques de management associées à l’informatisation à outrance conduit à une déshumanisation des rapports médecin-malade, nuisible à tous.
Notre combat centré sur la cancérologie, notre cœur de métier, tente de rendre au colloque singulier sa juste place en insistant auprès des patients pour qu’ils posent les bonnes questions et obtiennent les réponses leur permettant de donner leur consentement véritablement éclairé et de choisir leur traitement en toute conscience. Cette résistance aux diktats imposés d’en haut sera bénéfique tant pour les malades que pour les médecins sortant ainsi de l’état de robots dans lequel la bureaucratie voudrait les enfermer.

A propos des principales tumeurs concernées :

• Cancer du col de l’utérus
• Cancer du colon
• Cancer de la prostate
• Cancer du sein

Seront plus particulièrement développés :

• les risques d’avance au diagnostic induits par une incitation au dépistage précoce du cancer de la prostate par le PSA
• les risques liés aux campagnes de dépistage du cancer du sein. Pour clarifier les données pour un choix véritablement éclairé des femmes sur le dépistage mammographique du cancer du sein. En effet le dépistage systématique du cancer du sein fait l’objet de campagnes médiatisées et « agressives », tant par une quête péremptoire de recrutement, que par l’angoisse générée. Le coût social qui en résulte est par ailleurs exorbitant, si l’on ajoute au coût de ce dépistage les conséquences financières induites par les traitements abusifs d’un pourcentage non négligeable de faux positifs. Malgré ce dépistage, la mortalité à long terme de la maladie ne montre hélas aucun signe de régression. La balance bénéfice/risque de ce dépistage de masse est donc d’un intérêt discutable et mérite une réflexion plus approfondie

On ne présente plus la phytothérapie, une des plus anciennes médecines, pratiquées depuis des millénaires sur tous les continents.

Les plantes ont tellement de propriétés qu’elles ont été la base de nombreux médicaments moderne, mais en oubliant une chose importante : rien n’est plus efficace que le totum de la plante. Pour bénéficier de ces propriétés, il faudra par contre choisir des produits de qualité, correctement dosés et pris en quantité suffisante.
Ces multiples actions de la phytothérapie vont être particulièrement utiles dans l’accompagnement du patient cancéreux.

Pendant la chimiothérapie, les patients souffrent souvent de nombreux effets secondaires. On utilisera la phytothérapie pour aider et soulager le foie, calmer les nausée), agir sur l’intestin, protéger et stimuler le système immunitaire ou encore agir sur le stress et la fatigue. Bien d’autres symptômes peuvent être soulagés par les plantes en usage général ou local.
Il faudra bien connaitre ces plantes pour éviter celles qui pourraient présenter des interactions avec le traitement du cancer .

Pendant la radiothérapie, plusieurs plantes ont leur place également. Par voie générale mais aussi par voie locale comme l’Aloe Vera ou encore les huiles essentielles. L’aromathérapie étant une branche particulièrement active de la phytothérapie.
Après les traitements, en période de rémission, on proposera encore la phytothérapie pour aider le patient à récupérer sur le plan physique, pour l’aider à cicatriser, mais aussi à récupérer un système immunitaire efficace.

Toutes ces pistes thérapeutiques que j’ai détaillées dans mon livre « Cancer, un accompagnement qui change tout » (édition La Source Vive) seront exposées lors de mon intervention en favorisant avant tout l’aspect pratique et clinique, car la phytothérapie, à de rares exceptions, est très simple à utiliser.

1ere partie : Place des 2 médecines conventionnelles et alternatives dans la lutte contre le cancer.
2eme partie : On peut faire des chimiothérapies plus efficaces et mieux supportées,

• grâce au respect des règles édictées par les découvertes de la recherche fondamentale
• à la connaissance et à la compréhension des armes à disposition.
• à l’utilisation des techniques et produits adjuvants incontournables d’où 70% des effets secondaires éliminés et des résultats améliorés

Conclusion : La prophétie du Pr L. ISRAEL:« remettre tout en question et d’abord nous mêmes. »

Plaidoyer pour l’union : médecins et autres thérapeutes, patients, associations de malades qui doivent savoir être indépendantes, toute personne en bonne santé même s’il n’est pas directement concerné.

Le tabac, les polluants, l’alimentation moderne, les facteurs héréditaires jouent un rôle incontestable dans le déclenchement d’un cancer… Ils fragilisent nos cellules à l’image du maillon faible d’une chaîne, mais qui tire sur la chaîne ? Qu’est-ce qui provoque la rupture de cette cellule fragilisée ? Le facteur émotionnel ne remet pas en question ce que l’on sait déjà des causes physiques de la maladie, il vient éclairer le moment où la cellule a basculé et pourquoi.
Si l’âme est « ce qui nous anime », alors oui, de nombreux cancers semblent venir en écho à une blessure de notre ressort de vivre… une blessure parfois visible mais souvent cachée.
Ce ressort, de quoi est-il fait ? Le comportement si atypique d’une cellule cancéreuse va venir ici nous éclairer sur la nature de cette blessure insaisissable, comme un miroir qui nous donnerait à voir la rupture du « contrat de vie » noué entre notre désir de vivre et notre raison d’être. Quand la seconde ne parvient plus à maîtriser le premier, celui-ci part alors dans tous les sens… là où retrouver un sens apaiserait sa blessure et lui redonnerait sa raison d’être.

Les soignants n’existent que parce qu’il y a des patients ! Derrière cette lapalissade se cache une relation peu ordinaire.
La souffrance, les douleurs de patients gravement atteints appellent des soins les mieux adaptés : sur un plan technique, avec des moyens de plus en plus sophistiqués, mais également sur un plan relationnel. La confrontation quotidienne aux souffrances d’autrui, implique les soignants au-delà du plan professionnel car une relation vivante est avant tout une relation d’humain à humain…
Comment permet-on à tous les patients, qui souhaitent à juste raison « le meilleur » soin, d’être considérés comme toujours uniques par des soignants de plus en plus sollicités et qui à chaque rencontre doivent réinventer un mode relationnel spécifique ?
Soyons créatifs, trouvons des ressources afin que, dans un univers où la violence de la maladie avec son cortège de conséquences bio-psycho-sociales affectant les patients et traversant les soignants , ces derniers continuent jour après jour à apporter le meilleur d’eux-mêmes aux malades…

Je suis formatrice en communication. Après mes études en Allemagne et en Espagne et l’obtention d’un Master II en pédagogie et en enseignement des langues à l’université de Hambourg, je me suis installée en France. Mon rôle a toujours été celui d’une bâtisseuse de ponts, d’une facilitatrice plutôt que d’une enseignante car je pense que nous avons tous en nous un énorme potentiel qui n’attend que d’être exprimé.

En 2012, j’ai été atteinte d’un cancer du sein, une expérience qui a changé ma façon de percevoir mon corps, ma santé, mes relations et mon rapport aux choses qui arrivent. Formatrice en communication, j’ai appris à écouter ce que le mal-a-dit et à entrer dans une relation d’attention envers moi-même. Mon livre La maladie guérit – de la pensée créatrice à la communication avec soi est paru chez Quintessence en 2014 et présente mon parcours ainsi que ce qui m’a aidé : la visualisation, la méditation, la bienveillance envers soi, la compréhension de sa responsabilité dans le processus de la guérison. Traverser le miroir – de la peur du cancer à la confiance en la vie est sorti début 2016 chez l’Harmattan. C’est un regard sur une société en crise d’orientation. La prolifération incontrôlée de cellules malades (et non pas malignes) et leur incapacité à communiquer avec leur environnement ne reflètent-elles pas notre comportement actuel ? C’est ainsi que, en apprenant à guérir nos corps, nous guérissons en même temps le monde dans lequel nous vivons. L’un est inséparable de l’autre.

Le cancer défie la logique du fonctionnement humain qu’il vient mettre en péril et détruire de façon implacable. La médecine lui oppose des solutions souvent très dures et pas toujours efficaces, bien que nécessaires. Beaucoup ont cherché d’autre voies de guérison, pouvant aider.Qu’elles soient médicales, psychologiques ou énergétiques.
Mais le fonctionnement et la cause reste encore un territoire rempli de nombreuses hypothèses.
Nous proposerons un abord du mécanisme intime du cancer. N’est – il pas une révolte embryonnaire. A quoi sert – il dans notre économie, comment mieux le connaître et le reconnaître afin d’en sortir.

Le soleil est toujours fort et l’horizon se déploie devant moi… Je suis là, regardant la mer, celle qui a accompagné ma vie dans une petite ville du sud de la France…
J’observe encore et en corps, la vie, ma vie, le monde. Je sais que je vais mourir à ce monde, qu’un jour il me faudra dire au revoir, moi aussi…
Depuis près de vingt ans que je fais ce métier, je l’ai maintes fois imaginée, cette mort.
J’ai tellement vu ces moments de départ… sans jamais vraiment en saisir toute la sacralité. Je me dis souvent que cela aura été une vie, une vie simple avec ses bosses et ses creux, ses joies et ses plaisirs. ¨Je¨ suis vivant ici et maintenant.
Mais qu’est-ce qu’être vivant ?
Qu’est-ce aussi que la vie ?
Après tout, nous autres humains vivons d’illusions en désillusions pour de nouveau être en illusion puis… Et cela est ainsi, ce n’est pas si important, ni si grave que cela, c’est même très riche et surprenant.
J’ai passé la majeure partie de cette vie à écouter, étudier, éprouver… Et je sais qu’un jour il me faudra répondre à la question : « Qu’as-tu fait de ta vie et comment as-tu aimé ? ».
« Nous ne sommes pas des anges, nous avons un corps. », nous rappelait Thérèse d’Avila dans Le livre de la vie et cela est un fait que nous ne saurions ignorer. Mais en sommes-nous si convaincus ? Et puis, avons-nous un corps ou sommes-nous un corps ? Belle question de Wittgenstein… Question qui en appelle une autre : Suis-je une âme ou ai-je une âme ?
J’espère vous parler…En déployant quelques derniers moments de vie, en étant attirés vers cette réponse: Oui, je suis une âme et celle-ci a une intention par-devers notre personnalité.
C’est ce que j’ai découvert ici, dans ce beau pays sous le ciel bleu de Provence.

Lorsque l’on reçoit un diagnostic de maladie grave, la tentation est grande de s’enfermer ou de se laisser enfermer dans une pathologie qui dévore toute notre identité. Dans ma conférence, je veux parler de ma propre expérience d’un cancer de stade 4. Je discuterai du sens profond de la maladie sur le plan psychologique et spirituel. Je parlerai d’abord de la façon de dialoguer avec les parties malades sur le plan psychologique. J’aborderai aussi des façons concrètes de modifier ses états intérieurs à travers l’épreuve, car ce sont eux qui en définitive influencent la qualité de ce que nous vivons au jour le jour. Je commenterai l’avantage de favoriser une médecine globale alliant une médication intense comme la chimiothérapie, les plantes et les traitements énergétiques, sans oublier la psychothérapie. En conclusion, l’expérience du cancer peut devenir une porte qui s’ouvre sur la joie et la renaissance intérieure. Elle représente en somme une trop belle occasion d’évoluer pour la laisser passer.